Je suis à la fin de la première saison, et franchement c'est terrible!
Je recommande!
The Strain
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Sarlacc
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RoyaleWithCheese
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J'ai terminé la saison 1 pas plus tard qu'hier.... et mon avis est tellement à l'opposé du tiens que je me demande si je dois poster mon avis détaillé, rédigé pendant ma pause de ce midi... 
Vais y réfléchir....
Vais y réfléchir....
-And you know what they call a Quarter Pounder with Cheese in Paris?
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Sarlacc
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Fais comme tu la sens! Ce forum doit resté ouvert à tous les avis!
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RoyaleWithCheese
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Bon ok alors.... 
The Strain – Saison 1 ou, comment se donner de la peine et en avoir.
Tout commence par quatre intrigants épisodes bien ficelés et prometteurs qui posent le décor.
Le pitch de départ est un avion, en provenance de Berlin, qui se pose à JFK (New York). L'appareil au sol est totalement hors service, tout est éteint à l'intérieur.
Un spécialiste en épidémiologie (j'espère que c'est le bon terme), qui sera notre personnage principal, rentre à l'intérieur équipé d'une combinaison plein de matos et deux collègues. Ils découvrent que tout le monde à bord est mort sauf quatre personnes qu'ils vont mettre en quarantaine.
Ils découvriront, plus tard, un étrange cercueil finement sculpté rempli de terre qui était dans la soute de l'avion ainsi que de mystérieux vers.
A partir de là, l'idée est classique dans la thématique mais originale dans la mixité. En effet, cette histoire va englober vampires (les Stryges pour être précis), zombies, symbiotes et diverses organisations secrètes (un peu comme dans la BD de Marini « Rapaces »).
Une équipe relativement banale va se constituer avec un vieillard qui à déjà affronté le fameux vampire qui se trouvait dans le cercueil, le perso principal, son fils (sic... Pas crédible une seconde), sa copine, son meilleur pote (Goonies inside), l'habituel Bad-ass de service qui est bien cool au demeurant et, plus tard, une spécialiste en informatique (re-sic...) qui tombe comme un cheveu sur la soupe. Bref, simple mais efficace si on fait abstraction du gamin et de la geekette. De plus, les acteurs sont presque tous des habitués des seconds rôles dans divers films. Cela veut dire que le niveau est pas mal du tout.
Jusque là, tout va bien. Profitons-en.
L'intrigue suit sont cours, on fait connaissance des personnages plus en profondeur, d'autres apparaissent, le "mal" est petit à petit identifié et une certaine tension monte. Bon niveau de suspense lorsque le vampire fait des brèves apparitions. La tension monte pour notre plus grand plaisir. De nouveau, c'est simple mais efficace.
Seulement voilà, au moment ou la tension est au maximum, que l'on est bien pris par l'histoire, le vampire va faire plus qu'une simple apparition. Oui, il va aussi relever sa capuche et montrer son visage ! Et là.... les mots me manquent m'sieurs dames.... c'est la stupéfaction suivi d'un puissant éclat de rire !
Essayez d'imaginer le vampire « Nosferatu », celui du film muet des années 20 croisé avec Lionel Ritchie botoxé ! Ajoutez lui des gants en latex (ceux vendus en période d'Halloween en grand surface) pour faire « monstre » et vous avez le gros Boss méchant de cette histoire.
Je suis encore sous le choc. Ce personnage est tout simplement ri-di-cu-le. De nos jours, c'est impardonnable.
Le pire, c'est qu'il va refaire des apparitions à tête découverte au fil des épisodes et cela va provoquer un gros « facteur nanar », avec les rires qui vont avec, jusqu'au final tout pourri de chez tout pourri.
Il reste son second, un ex Nazi vampire « symbioté » qui dégage quelque chose d'intéressant. Mais il ne peut pas tout porter non-plus.
En quelques mots, ce final ressemble presque à une partie de feuille/caillou/ciseaux/ entre les protagonistes pour savoir si il y aura une seconde saison ou pas. Bien entendu qu'il y en aura une car le vampire va se barrer fissa pendant que ces blaireaux gesticulent vainement. J'exagère à peine...
Bref, à la décharge du réalisateur, qui est Guillermo Del toro au passage, on sent que le budget n'est pas au rendez-vous. On peut lui pardonner certaine choses (le manque de réalisme sur la panique générale que devrait engendrer l'épidémie par exemple), mais pas de gâcher une fois de plus la crédibilité de certains personnages.
Voilà. Fort potentiel mais ratage complet. Je ne pense pas tenter ma chance pour la suite.
The Strain – Saison 1 ou, comment se donner de la peine et en avoir.
Tout commence par quatre intrigants épisodes bien ficelés et prometteurs qui posent le décor.
Le pitch de départ est un avion, en provenance de Berlin, qui se pose à JFK (New York). L'appareil au sol est totalement hors service, tout est éteint à l'intérieur.
Un spécialiste en épidémiologie (j'espère que c'est le bon terme), qui sera notre personnage principal, rentre à l'intérieur équipé d'une combinaison plein de matos et deux collègues. Ils découvrent que tout le monde à bord est mort sauf quatre personnes qu'ils vont mettre en quarantaine.
Ils découvriront, plus tard, un étrange cercueil finement sculpté rempli de terre qui était dans la soute de l'avion ainsi que de mystérieux vers.
A partir de là, l'idée est classique dans la thématique mais originale dans la mixité. En effet, cette histoire va englober vampires (les Stryges pour être précis), zombies, symbiotes et diverses organisations secrètes (un peu comme dans la BD de Marini « Rapaces »).
Une équipe relativement banale va se constituer avec un vieillard qui à déjà affronté le fameux vampire qui se trouvait dans le cercueil, le perso principal, son fils (sic... Pas crédible une seconde), sa copine, son meilleur pote (Goonies inside), l'habituel Bad-ass de service qui est bien cool au demeurant et, plus tard, une spécialiste en informatique (re-sic...) qui tombe comme un cheveu sur la soupe. Bref, simple mais efficace si on fait abstraction du gamin et de la geekette. De plus, les acteurs sont presque tous des habitués des seconds rôles dans divers films. Cela veut dire que le niveau est pas mal du tout.
Jusque là, tout va bien. Profitons-en.
L'intrigue suit sont cours, on fait connaissance des personnages plus en profondeur, d'autres apparaissent, le "mal" est petit à petit identifié et une certaine tension monte. Bon niveau de suspense lorsque le vampire fait des brèves apparitions. La tension monte pour notre plus grand plaisir. De nouveau, c'est simple mais efficace.
Seulement voilà, au moment ou la tension est au maximum, que l'on est bien pris par l'histoire, le vampire va faire plus qu'une simple apparition. Oui, il va aussi relever sa capuche et montrer son visage ! Et là.... les mots me manquent m'sieurs dames.... c'est la stupéfaction suivi d'un puissant éclat de rire !
Essayez d'imaginer le vampire « Nosferatu », celui du film muet des années 20 croisé avec Lionel Ritchie botoxé ! Ajoutez lui des gants en latex (ceux vendus en période d'Halloween en grand surface) pour faire « monstre » et vous avez le gros Boss méchant de cette histoire.
Je suis encore sous le choc. Ce personnage est tout simplement ri-di-cu-le. De nos jours, c'est impardonnable.
Le pire, c'est qu'il va refaire des apparitions à tête découverte au fil des épisodes et cela va provoquer un gros « facteur nanar », avec les rires qui vont avec, jusqu'au final tout pourri de chez tout pourri.
Il reste son second, un ex Nazi vampire « symbioté » qui dégage quelque chose d'intéressant. Mais il ne peut pas tout porter non-plus.
En quelques mots, ce final ressemble presque à une partie de feuille/caillou/ciseaux/ entre les protagonistes pour savoir si il y aura une seconde saison ou pas. Bien entendu qu'il y en aura une car le vampire va se barrer fissa pendant que ces blaireaux gesticulent vainement. J'exagère à peine...
Bref, à la décharge du réalisateur, qui est Guillermo Del toro au passage, on sent que le budget n'est pas au rendez-vous. On peut lui pardonner certaine choses (le manque de réalisme sur la panique générale que devrait engendrer l'épidémie par exemple), mais pas de gâcher une fois de plus la crédibilité de certains personnages.
Voilà. Fort potentiel mais ratage complet. Je ne pense pas tenter ma chance pour la suite.
-And you know what they call a Quarter Pounder with Cheese in Paris?
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RoyaleWithCheese
- Maniaque
- Messages : 2774
- Enregistré le : 01 mai 2010, 17:03
J'insiste sur le visuel du Boss de fin. Mélangez ces deux gusses:
C'est proche, non?
Spoiler!
-And you know what they call a Quarter Pounder with Cheese in Paris?
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f_seb
- Dérangé
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RoyaleWithCheese, mon avis est relativement proche du tien.
Les premiers épisodes sont bien menés, on découvre la team et chacun de ses membres, hormis qq facilités les profils stéréotypés fonctionnent bien, simple et efficace.
Idem du coté des vilains, l'allemand est impec, et les zombies vampires ça passse bien.
Ensuite vient le déroulement, à un certain moment je me demande si Del'Toro est pas parti en vacances mais sans revenir...
Ca tire des ficelles un peu partout, on nous fait aller un peu là où ça peut aller mais pas trop et du coup on perd le coté fun de l'univers. Certes un manque certain de moyen n'aide pas à meener le bateau sur le bon cap, mais il y a qq moments vraiment sympa, comme les flashback du vieux bonhomme et de l'allemand.
Le master... bon moi j'aime le coté 80's du design et de ses FX, je sais pas si pas fait exprès justement, un coté badtaste etc, un peu ridicule, déjà vu. Mais si c'est pas la raison de son design, bah j'ai pas d'excuse pour eux.
Et l'episode final m'a laissé un vieux gout de blague pas drole, avec un énorme WTF.
D'ailleurs j'ai eue le même sentiment sur la série Penny Dredfull, l'ep final m'a laissé un peu comme un con alors qu etout le reste est très bon, mais c'est un autre sujet.
Les premiers épisodes sont bien menés, on découvre la team et chacun de ses membres, hormis qq facilités les profils stéréotypés fonctionnent bien, simple et efficace.
Idem du coté des vilains, l'allemand est impec, et les zombies vampires ça passse bien.
Ensuite vient le déroulement, à un certain moment je me demande si Del'Toro est pas parti en vacances mais sans revenir...
Ca tire des ficelles un peu partout, on nous fait aller un peu là où ça peut aller mais pas trop et du coup on perd le coté fun de l'univers. Certes un manque certain de moyen n'aide pas à meener le bateau sur le bon cap, mais il y a qq moments vraiment sympa, comme les flashback du vieux bonhomme et de l'allemand.
Le master... bon moi j'aime le coté 80's du design et de ses FX, je sais pas si pas fait exprès justement, un coté badtaste etc, un peu ridicule, déjà vu. Mais si c'est pas la raison de son design, bah j'ai pas d'excuse pour eux.
Et l'episode final m'a laissé un vieux gout de blague pas drole, avec un énorme WTF.
D'ailleurs j'ai eue le même sentiment sur la série Penny Dredfull, l'ep final m'a laissé un peu comme un con alors qu etout le reste est très bon, mais c'est un autre sujet.
