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Sarlacc
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C'est cool le centipede! Moi j'ai adore les deux opus!
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zoom le lapinou
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le prend pas mal, mais je suis pas surprisSarlacc a écrit :C'est cool le centipede! Moi j'ai adore les deux opus!
, bien qu en dehors de l "originalité" dans l idée de l opération est indéniable, après cette version baveuse du Dr mengueler est pas terrible. J'ai franchement pas envie de perdre du temps et ma copine a visionner la suite, je me suis rarement autant interrogé sur la santé mentale d un réalisateur et des fans du film, sincèrement comment il peut y avoir une suite à ça?
Bah passons, mais j aimerais profondément pouvoir oublier les images et ce film
Piètre Dieu...
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Aleksander
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Perso j'ai aussi adoré Prisoners, j'en attendais pas grand chose mais depuis le tout début je suis resté scotché sans aucun temps mort, le film dure environ 2h30 mais j'ai absolument pas vu le temps passer tellement j'étais tendu tout le long.RoyaleWithCheese a écrit :Cid a écrit :Prisoners: 10/10
ce film est un pur chef d'œuvre
Sarlacc a écrit :Ouais ce film est une bombe!Vous êtres sérieux les mecs?
euh... je dis ça parceque je suis en train de rédiger mon laïus vomitif de la semaine pendant mes temps de pause au boulot (petit plaisir coupable) et ce film prend cher.... c'est un digne successeur de Taken....
Bon, vu que nous sommes sur un rare forum où il est possible d'avoir des divergences d'opinions sans que cela se termine en "brouette Togolaise", je posterai quand même prochainement ma review... vous ne m'en voudrez pas, hein...
Maintenant, plus sérieusement, si vous considérez réellement ce film comme un chef-d'oeuvre, je me permet de vous conseiller vivement de regarder "True Detective" (une histoire complète en huit épisodes). J'en ai parlé il y a peu dans la rubrique des séries. Il y a des similitudes au niveau des thématiques abordées. Réalisation, scénario, dialogues et prestations d'acteurs top moumoute.
Qualitativement, ce n'est pas vraiment comparable avec Prisoners. C'est un peu comme devoir choisir entre un tournedos saignant avec une sauce aux morilles, accompagné d'une petite jardinière de légumes et quelques pommes de terres roties et un sandwich au thon triangulaire sous vide acheté dans une station service.
Perso, j'ai choisi...
Je jetterai un oeil sur True Detective alors.
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Sarlacc
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zoom le lapinou a écrit :le prend pas mal, mais je suis pas surprisSarlacc a écrit :C'est cool le centipede! Moi j'ai adore les deux opus!
J'ai franchement pas envie de perdre du temps et ma copine a visionner la suite, je me suis rarement autant interrogé sur la santé mentale d un réalisateur et des fans du film, sincèrement comment il peut y avoir une suite à ça?
Bah passons, mais j aimerais profondément pouvoir oublier les images et ce film
Ben tu touches exactement ce qui fait de ce film une petite pépite: c'est dérangeant et jusqu'auboutiste. J'aime le cinéma extrême. Ca m'a fait flipper, m'a remué le bide... Bref, des émotions humaines qui sont trop rares au cinéma, mais trop présentes en lisant le journal ou en voyant la TV. Du coup, j'aime vivre ces émotions tranquille dans mon canapé, car je sais que tout ça n'est que conneries.
Le 2 est hyper différent et pas bien des égards plus dérangeant encore que le premier opus!
Ah et non Zoomi, je le prends pas mal. Je le prendrai jamais mal car je suis fier de ce que j'aime et défends: cinéma mais aussi musique. Ouais, car un pauvre hardos comme moi, par les temps qui courent, c'est dur!
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RoyaleWithCheese
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Inside Llewyn Davis
L’histoire relate le parcours d’un musicien folk du début des années 60 qui se lance dans une carrière solo après avoir perdu son acolyte. Ce dernier s’étant suicidé.
Galère, conditions minables pour faire des concerts, « débrouillardise » pour trouver un endroit pour dormir, industrie du disque naissante avec toutes les arnaques qui vont avec et plein d’autres embrouilles sont le quotidien de ce Llewyn Davis.
Niveau réalisation, l’image est très belle et le casting plutôt soigné. En prime, nous avons la surprise de voir Justin Timberlake (un saltimbanque des années 2000 si je me souviens bien) jouer le rôle d’un chanteur un brin ringard. Et bien il assure le monsieur. Tout à fait convaincant.
John Goodman et les frères Cohen, c’est un peu comme Bill Murray et Wes Anderson. On est presque sur de les voir débouler à un moment ou un autre. Il a droit a une scène particulièrement excellente, celle du voyage jusqu’à Chicago, avec des dialogues bien marrants et sa bonhomie habituelle. J’ai adoré ce passage.
Sinon, autre détail sympathique, c’est le petit clin d’œil final "évident" tout en restant subtil.
En conclusion, c’est pas mal du tout mais j’avoue être resté un peu sur ma faim car ces deux frangins m’ont habitué à plus consistant. Ce qui fausse probablement mon avis sur ce film.
Seuls two
Bon, ok, ne me jugez pas aussi vite. Oui, j’ai pris le temps de regarder un film avec (et de) Eric et Ramzy et j’assume complètement.
J’ai effectivement de la sympathie pour ces deux gusses et, cela, pour trois raisons : dans les années 90, à l’époque ou ils commençaient à être diffusés sur Canal+ avec leur rubrique d’explication de mots, j’ai eu l’occasion de les voir dans un club privé faire un petit spectacle comique complètement « foutraque » et laissant un grand espace pour l’improvisation. C’était vraiment original.
Ensuite, il y a eu ce fameux épisode de la série « H » avec, en guest, Richard Gotainer. Je ne l’ai jamais revu depuis mais j’en garde un excellent souvenir.
Et plus récemment, j’ai apprécié leur participation dans le film « Steack » avec un univers complètement barré. Vu deux fois. Si, si, je vous jure !
C’est pour cela que je garde un espoir de voir quelque chose de bien avec eux.
Ouais, ben ce n’est pas le cas ici. C’est franchement mauvais.
Cela dit, on sent qu’ils se sont fait plaisir en invitant des potes (Omar et Fred, MC Jean Gabin, Edouard Baer, François Damien, etc) et ça déconne plein tubes. Malheureusement, on a aussi l’impression que nous ne somme pas invités à rire. C’est paradoxal, mais ils font leur truc dans leur coin, c’est leur univers et peu importe ce qu’il se passe. Sensation bizarre pour le spectateur…
Toutefois, deux scènes m’ont arraché des pleurs de rires (vu la longueur du film, c’est peu). Il s’agit de la séquence de l’interrogatoire du petit chinois et celle du musée Grévin. C’est très très con, mais je me suis marré comme pas possible.
Autre détail intéressant, c’est les scènes extérieures avec des rues de Paris complètement vides. Au début, j’imaginais qu’ils avaient eu recours à des effets spéciaux (comme pour Im a Legend par exemple) mais, petit à petit, il apparait que ce sont des situations réelles. C’est confirmé dans le générique de fin avec le remerciage d’une armada de « bloqueurs de rues ».
Pour conclure à propos de ce film: à vos risques et périls.
Prisoners
Ce film pourrait s’intituler également « Le réalisateur est il plus mauvais que l’inspecteur ? »
Cela commence plutôt bien (malgré les clichés) : deux familles, une blanche et une noire (sic), passent le repas de Thanksgiving ensemble. Les deux petites filles vont jouer à l’extérieur et disparaissent. Bien entendu, les parents sont pris de panique et alertent les autorités.
Du coup, un inspecteur vient commencer son enquête.
Jusque là, tout va bien. C’est basique mais efficace pour nous tenir en haleine. Etant moi-même père de famille, le sujet est prenant car il touche la corde sensible.
Les soupçons vont rapidement se porter sur le « simplet du village » qui vit, la plupart du temps, dans son camping-car qui était garé proche de la maison lors du drame.
Cela dit, il va rapidement être libéré et lavé de tout soupçon, ce qui va fortement contrarier un des pères. Ce dernier, archi-convaincu de la culpabilité du mec, va vouloir mener sa propre enquête jusqu’à commettre l’irréparable, soit, séquestrer et torturer celui qu’il croit être le coupable pour avoir des réponses.
C’est, scénaristiquement parlant, une putain de bonne idée. Mais malheureusement….
…malheureusement, le scénario décroche complètement après ce point et on doit subir la couillonnerie de cet inspecteur à la chemise boutonnées jusqu’en haut (cela devrait être interdit. La chemise boutonnée jusqu’en haut, donc).
Difficile de décrire la médiocrité des scènes. Rien ne nous est épargné. Même pas le mec en costard qui planque ses magazines de cul allemand dans le tiroir de la commode du salon ou « l’arc » avec le médaillon et la photo (photo qui m’a fait éclater de rire d’ailleurs) qui va réveiller notre inspecteur de service. Je ne vais pas tout relever, ça me prendrai dix plombes.
Ce mec n’est même pas foutu de mettre les indices ensemble. Il trouve les solutions « par bol ». C’est complètement dingue. Il ne manque plus que Scoobidoo et sa clique pour démasquer le coupable et lui expliquer comment faire ! J’exagère à peine bordel ! Et il faut se le farcir pendant deux heures et demie !!!!
Et pendant ce temps, la bonne idée, elle, reste au placard. Elle n’est pas du tout exploitée. Pourtant, c’est justement l’occasion de développer quelque chose de vraiment bien et de viscéral (jusqu’où sommes nous capable d’aller par désespoir). Mais non, c’est un festival de rebondissements complètement couillons qui vont avoir la part belle jusqu'à un twist final consternant.
Maintenant, sur le plan technique, la réalisation est « prétentieuses ». On veut vraiment nous servir un thriller épique mais qui fait un flop au bout de vingt minutes (l’ambiance visuelle y est, mais c’est tout). Ensuite, les acteurs sont passablement pénibles. Les deux pères en particulier. Concernant Hugh Jackman, je me pose la question, à force, s’il n’est pas un apprenti de Nicholas Cage. Ces deux ont en points communs l’inexpressivité et le don de s’embourber dans des navets improbables.
Bref, en résumé, ce film est en compétition pour obtenir la palme du pire navet vu cette année.
L’histoire relate le parcours d’un musicien folk du début des années 60 qui se lance dans une carrière solo après avoir perdu son acolyte. Ce dernier s’étant suicidé.
Galère, conditions minables pour faire des concerts, « débrouillardise » pour trouver un endroit pour dormir, industrie du disque naissante avec toutes les arnaques qui vont avec et plein d’autres embrouilles sont le quotidien de ce Llewyn Davis.
Niveau réalisation, l’image est très belle et le casting plutôt soigné. En prime, nous avons la surprise de voir Justin Timberlake (un saltimbanque des années 2000 si je me souviens bien) jouer le rôle d’un chanteur un brin ringard. Et bien il assure le monsieur. Tout à fait convaincant.
John Goodman et les frères Cohen, c’est un peu comme Bill Murray et Wes Anderson. On est presque sur de les voir débouler à un moment ou un autre. Il a droit a une scène particulièrement excellente, celle du voyage jusqu’à Chicago, avec des dialogues bien marrants et sa bonhomie habituelle. J’ai adoré ce passage.
Sinon, autre détail sympathique, c’est le petit clin d’œil final "évident" tout en restant subtil.
En conclusion, c’est pas mal du tout mais j’avoue être resté un peu sur ma faim car ces deux frangins m’ont habitué à plus consistant. Ce qui fausse probablement mon avis sur ce film.
Seuls two
Bon, ok, ne me jugez pas aussi vite. Oui, j’ai pris le temps de regarder un film avec (et de) Eric et Ramzy et j’assume complètement.
J’ai effectivement de la sympathie pour ces deux gusses et, cela, pour trois raisons : dans les années 90, à l’époque ou ils commençaient à être diffusés sur Canal+ avec leur rubrique d’explication de mots, j’ai eu l’occasion de les voir dans un club privé faire un petit spectacle comique complètement « foutraque » et laissant un grand espace pour l’improvisation. C’était vraiment original.
Ensuite, il y a eu ce fameux épisode de la série « H » avec, en guest, Richard Gotainer. Je ne l’ai jamais revu depuis mais j’en garde un excellent souvenir.
Et plus récemment, j’ai apprécié leur participation dans le film « Steack » avec un univers complètement barré. Vu deux fois. Si, si, je vous jure !
C’est pour cela que je garde un espoir de voir quelque chose de bien avec eux.
Ouais, ben ce n’est pas le cas ici. C’est franchement mauvais.
Cela dit, on sent qu’ils se sont fait plaisir en invitant des potes (Omar et Fred, MC Jean Gabin, Edouard Baer, François Damien, etc) et ça déconne plein tubes. Malheureusement, on a aussi l’impression que nous ne somme pas invités à rire. C’est paradoxal, mais ils font leur truc dans leur coin, c’est leur univers et peu importe ce qu’il se passe. Sensation bizarre pour le spectateur…
Toutefois, deux scènes m’ont arraché des pleurs de rires (vu la longueur du film, c’est peu). Il s’agit de la séquence de l’interrogatoire du petit chinois et celle du musée Grévin. C’est très très con, mais je me suis marré comme pas possible.
Autre détail intéressant, c’est les scènes extérieures avec des rues de Paris complètement vides. Au début, j’imaginais qu’ils avaient eu recours à des effets spéciaux (comme pour Im a Legend par exemple) mais, petit à petit, il apparait que ce sont des situations réelles. C’est confirmé dans le générique de fin avec le remerciage d’une armada de « bloqueurs de rues ».
Pour conclure à propos de ce film: à vos risques et périls.
Prisoners
Ce film pourrait s’intituler également « Le réalisateur est il plus mauvais que l’inspecteur ? »
Cela commence plutôt bien (malgré les clichés) : deux familles, une blanche et une noire (sic), passent le repas de Thanksgiving ensemble. Les deux petites filles vont jouer à l’extérieur et disparaissent. Bien entendu, les parents sont pris de panique et alertent les autorités.
Du coup, un inspecteur vient commencer son enquête.
Jusque là, tout va bien. C’est basique mais efficace pour nous tenir en haleine. Etant moi-même père de famille, le sujet est prenant car il touche la corde sensible.
Les soupçons vont rapidement se porter sur le « simplet du village » qui vit, la plupart du temps, dans son camping-car qui était garé proche de la maison lors du drame.
Cela dit, il va rapidement être libéré et lavé de tout soupçon, ce qui va fortement contrarier un des pères. Ce dernier, archi-convaincu de la culpabilité du mec, va vouloir mener sa propre enquête jusqu’à commettre l’irréparable, soit, séquestrer et torturer celui qu’il croit être le coupable pour avoir des réponses.
C’est, scénaristiquement parlant, une putain de bonne idée. Mais malheureusement….
…malheureusement, le scénario décroche complètement après ce point et on doit subir la couillonnerie de cet inspecteur à la chemise boutonnées jusqu’en haut (cela devrait être interdit. La chemise boutonnée jusqu’en haut, donc).
Difficile de décrire la médiocrité des scènes. Rien ne nous est épargné. Même pas le mec en costard qui planque ses magazines de cul allemand dans le tiroir de la commode du salon ou « l’arc » avec le médaillon et la photo (photo qui m’a fait éclater de rire d’ailleurs) qui va réveiller notre inspecteur de service. Je ne vais pas tout relever, ça me prendrai dix plombes.
Ce mec n’est même pas foutu de mettre les indices ensemble. Il trouve les solutions « par bol ». C’est complètement dingue. Il ne manque plus que Scoobidoo et sa clique pour démasquer le coupable et lui expliquer comment faire ! J’exagère à peine bordel ! Et il faut se le farcir pendant deux heures et demie !!!!
Et pendant ce temps, la bonne idée, elle, reste au placard. Elle n’est pas du tout exploitée. Pourtant, c’est justement l’occasion de développer quelque chose de vraiment bien et de viscéral (jusqu’où sommes nous capable d’aller par désespoir). Mais non, c’est un festival de rebondissements complètement couillons qui vont avoir la part belle jusqu'à un twist final consternant.
Maintenant, sur le plan technique, la réalisation est « prétentieuses ». On veut vraiment nous servir un thriller épique mais qui fait un flop au bout de vingt minutes (l’ambiance visuelle y est, mais c’est tout). Ensuite, les acteurs sont passablement pénibles. Les deux pères en particulier. Concernant Hugh Jackman, je me pose la question, à force, s’il n’est pas un apprenti de Nicholas Cage. Ces deux ont en points communs l’inexpressivité et le don de s’embourber dans des navets improbables.
Bref, en résumé, ce film est en compétition pour obtenir la palme du pire navet vu cette année.
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zoom le lapinou
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Je te comprend bien Sarlacc parce que c'est ce que j'ai ressenti dans trainspoting, film qui m a dérangé et retourné et finalement plu, après on a tous des sensibilités et expériences de vie ou non qui font qu on vibre ou pas pour un film, ce qui fait la beauté du cinéma au final, enfin mon petit avis.
Dérangeant c'est le bon mot pour ce film, mais ça n apporte rien en dehors d un certain malaise et c'est ce que j'ai trouvé dommage, mais bon.
J aime ta comparaison avec le journal, parce qu en ce moment pour préserver mon moral, je ne regarde pas trop l actu.
Desolé pour ces digressions, mais c'est super de pouvoir échanger en toute sérénité nos points de vue même si nos avis sur tel ou tel film divergent parfois
PS j'ai un bug j'arrive pas à éditer ton message navré
Dérangeant c'est le bon mot pour ce film, mais ça n apporte rien en dehors d un certain malaise et c'est ce que j'ai trouvé dommage, mais bon.
J aime ta comparaison avec le journal, parce qu en ce moment pour préserver mon moral, je ne regarde pas trop l actu.
Desolé pour ces digressions, mais c'est super de pouvoir échanger en toute sérénité nos points de vue même si nos avis sur tel ou tel film divergent parfois
PS j'ai un bug j'arrive pas à éditer ton message navré
Piètre Dieu...
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Cid
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X-Men : Days of Future Past --> 10/10
Et bien voilà, je l'ai vu ce soir et j'ai adoré, c'est LE film des X-Men qu'on attendait depuis 2003 même s'il faut avouer qu'on a eu un très bon X-Men : Le commencement pour nous faire patienter
Franchement il est fabuleux et pour le moment c'est clairement mon film de l'année 
Un film de fans pour les fans avant tout je dirai mais qui marque un nouveau départ qui est capable de plaire et d'attirer de nouveaux adeptes.
Une immense réunion d'acteurs au top dans leurs rôles respectifs de mutants qui occupent une grande partie des moments d'action bien répartis à l'écran sans que ça en fasse trop ou pas assez
Singer réussit une fois de plus le pari d'un parfait mélange entre le spectaculaire et l'intelligent. Il mêle abilement les diverses explosions et les combats (la scène de Quicksilver dans la cuisine est génialissime ) en leurs donnant tous une grande importance et usent subtilement des dialogues centrés sur l'amitié, la destinée et surtout la discrimination, élément important et qui est généré à la base des X-Men.
Le final est grandiose et on se met a espérer très vite un nouveau volet, tant cet épisode est ultime
Sinon je terminerai par une mention spéciale à Peter Dinklage qui est incroyable dans son rôle de Trask et montre qu'il peut tout aussi être à l'aise sur grand écran dans un rôle de scientifique que sur petit dans son rôle de Tyrion, un tout grand acteur
Et bien voilà, je l'ai vu ce soir et j'ai adoré, c'est LE film des X-Men qu'on attendait depuis 2003
même s'il faut avouer qu'on a eu un très bon X-Men : Le commencement pour nous faire patienter Franchement il est fabuleux et pour le moment c'est clairement mon film de l'année
Un film de fans pour les fans avant tout je dirai mais qui marque un nouveau départ qui est capable de plaire et d'attirer de nouveaux adeptes. Une immense réunion d'acteurs
au top dans leurs rôles respectifs de mutants qui occupent une grande partie des moments d'action bien répartis à l'écran sans que ça en fasse trop ou pas assez Singer réussit une fois de plus le pari d'un parfait mélange entre le spectaculaire et l'intelligent. Il mêle abilement les diverses explosions et les combats (la scène de Quicksilver dans la cuisine est génialissime
) en leurs donnant tous une grande importance et usent subtilement des dialogues centrés sur l'amitié, la destinée et surtout la discrimination, élément important et qui est généré à la base des X-Men.Le final est grandiose et on se met a espérer très vite un nouveau volet, tant cet épisode est ultime
Sinon je terminerai par une mention spéciale à Peter Dinklage qui est incroyable dans son rôle de Trask et montre qu'il peut tout aussi être à l'aise sur grand écran dans un rôle de scientifique que sur petit dans son rôle de Tyrion, un tout grand acteur
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Cid
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Alors tu vas te régaler mon poto 
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Sarlacc
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Rigel a écrit :I Frankenstein : une tuerie tout simplement, le genre d'histoire que j'adore. En plus un super jeu d'acteur, de l'action là où il en faut sans en faire trop.
T'es sérieuse Rigigi?
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Rigel
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Bein oui franchement je l'ai adoré ce film. Bill Nighy est un acteur que j'adore, tout comme Miranda Otto et Aaron Eckhart joue une Frankenstein plutôt sympa. Et je trouve que le film a un bon rythme et l'histoire est plutôt sympa.Sarlacc a écrit :Rigel a écrit :I Frankenstein : une tuerie tout simplement, le genre d'histoire que j'adore. En plus un super jeu d'acteur, de l'action là où il en faut sans en faire trop.
T'es sérieuse Rigigi?
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RoyaleWithCheese
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Une semaine sans navet, c’est possible ?
Et bien oui :
Yves Saint Laurent
Ce biopic va surtout se pencher sur la relation complexe entre YSL et son amant/mécène/protecteur, Pierre Bergé.
L’aspect créatif est également conté, mais ne prend pas forcement la place principale.
Pas grand-chose à en dire, hormis que l’on découvre ses travers alors que je le voyais comme quelqu’un d’extrêmement réservé et de courtois. Presque un type « sans histoires ». De simples préjugés en somme. Par moment, c’est carrément une puissante « tête à claques » tellement il peut agacer. Presque autant que Karl… Intéressant donc.
Petit bémol toutefois, l’histoire s’arrête brusquement dans les années 70. Il manque plusieurs décennies à propos de ce génial créateur. C’est assez dommage.
Le résultat est pas mal du tout mais prendre en compte que si le sujet ne vous évoque rien, vous risquez de sacrément vous « faire chier » sur la longueur. Le rythme est plutôt lent.
Gravity
Film pour lequel je n’étais pas prêt de parier le moindre kopeck. C’était une erreur.
Une idée simple mais développée de manière rudement efficace. Pour la première moitié, le suspens est insoutenable et prend aux trippes (oui, je fus absorbé par cette multitude de déboires dans l’espace). Pour la seconde, on se demande quel chemin le réalisateur va choisir. Soit, d’un côté, la « facilité » avec le sauvetage in extremis, ou, de l’autre une énième théorie sur l’acceptation de la mort.
A ma grande surprise, c’est le premier choix qui est fait. Bien que ce soit « casse gueule », car on risque de friser le ridicule à tout moment par des « twists » agaçants, le scénario évite les pièges et la suite de l’histoire tient bien la route. Et, cela, jusqu’à la dernière seconde.
A noter également que les effets spéciaux sont de toute beauté. Certaines séquences sont même gracieuses. Beau, au point de regretter de ne pas l’avoir vu sur grand écran.
Bref, une très bonne surprise.
X-Men : Days of future past
Après le très bon « First class », qui, de mon point de vue, reste la meilleure adaptation Marvel à ce jour, cette suite tient plutôt bien ses promesses. Le résultat est pas mal du tout.
Sans spoiler, cette fameuse saga est habilement transposée à l’écran. Elle permet, en plus, d’aborder les « nouveaux départs » typiques dans l’univers des X-Men sans le côté redondant.
Niveau galerie de personnages, j’ai bien aimé voir des petits nouveaux comme DaCosta (Solar), Blink et Warpath. Je m’attendais au pire pour Omar Sy, mais il assure le job. Bon, faut avouer que son rôle n’est pas particulièrement exigeant non plus…
La grosse séquence avec Quicksilver est très fun. Cela apporte la petite dose d’humour qui dédramatise le tout.
Par contre, niveau historique, sans vouloir me vautrer dans le purisme excessif, c’est un peu tiré par les cheveux. En gros, on se dit immédiatement qu’il y a un anachronisme car, dans les comics, c’est le fils de Magneto. Plus tard, il parle vaguement d’un ex-copain de sa mère qui laisse sous entendre qu’il s’agit d’Erick, ce qui rompt l’anachronisme. Du coup, on a envie de s’acharner sur la question en relevant qu’il manque Wanda mais, plus tard, on le voit devant la télé avec sa petite sœur sur les genoux… mouais, suis pas totalement convaincu.
Ce qui m’a surpris, c’est la violence relativement crue (plutôt inhabituel dans les productions Marvel) des morts. Colossus coupé en deux, Iceman décapité, Storm éventrée, etc..
Sinon, quelques points noirs sont à relever. Tout d’abord, le look des sentinelles qui ne colle pas du tout avec l’époque. La solution est pourtant simple : respecter le design d’origine qui, en plus, était déjà présent dans un autre épisode (séquence de la salle des dangers). Ensuite, je suis resté sur ma faim concernant Trask et Magneto. Deux très bons acteurs mais leurs talents respectifs pas suffisamment exploités. Après il y a aussi quelques approximations scénaristiques, mais je chipote là.
Le petit plaisir en dessert après le générique m’a fait presque bondir de mon fauteuil. Gros gros tripp !
Mais passons en mode furtif :
Et bien oui :
Yves Saint Laurent
Ce biopic va surtout se pencher sur la relation complexe entre YSL et son amant/mécène/protecteur, Pierre Bergé.
L’aspect créatif est également conté, mais ne prend pas forcement la place principale.
Pas grand-chose à en dire, hormis que l’on découvre ses travers alors que je le voyais comme quelqu’un d’extrêmement réservé et de courtois. Presque un type « sans histoires ». De simples préjugés en somme. Par moment, c’est carrément une puissante « tête à claques » tellement il peut agacer. Presque autant que Karl… Intéressant donc.
Petit bémol toutefois, l’histoire s’arrête brusquement dans les années 70. Il manque plusieurs décennies à propos de ce génial créateur. C’est assez dommage.
Le résultat est pas mal du tout mais prendre en compte que si le sujet ne vous évoque rien, vous risquez de sacrément vous « faire chier » sur la longueur. Le rythme est plutôt lent.
Gravity
Film pour lequel je n’étais pas prêt de parier le moindre kopeck. C’était une erreur.
Une idée simple mais développée de manière rudement efficace. Pour la première moitié, le suspens est insoutenable et prend aux trippes (oui, je fus absorbé par cette multitude de déboires dans l’espace). Pour la seconde, on se demande quel chemin le réalisateur va choisir. Soit, d’un côté, la « facilité » avec le sauvetage in extremis, ou, de l’autre une énième théorie sur l’acceptation de la mort.
A ma grande surprise, c’est le premier choix qui est fait. Bien que ce soit « casse gueule », car on risque de friser le ridicule à tout moment par des « twists » agaçants, le scénario évite les pièges et la suite de l’histoire tient bien la route. Et, cela, jusqu’à la dernière seconde.
A noter également que les effets spéciaux sont de toute beauté. Certaines séquences sont même gracieuses. Beau, au point de regretter de ne pas l’avoir vu sur grand écran.
Bref, une très bonne surprise.
X-Men : Days of future past
Après le très bon « First class », qui, de mon point de vue, reste la meilleure adaptation Marvel à ce jour, cette suite tient plutôt bien ses promesses. Le résultat est pas mal du tout.
Sans spoiler, cette fameuse saga est habilement transposée à l’écran. Elle permet, en plus, d’aborder les « nouveaux départs » typiques dans l’univers des X-Men sans le côté redondant.
Niveau galerie de personnages, j’ai bien aimé voir des petits nouveaux comme DaCosta (Solar), Blink et Warpath. Je m’attendais au pire pour Omar Sy, mais il assure le job. Bon, faut avouer que son rôle n’est pas particulièrement exigeant non plus…
La grosse séquence avec Quicksilver est très fun. Cela apporte la petite dose d’humour qui dédramatise le tout.
Par contre, niveau historique, sans vouloir me vautrer dans le purisme excessif, c’est un peu tiré par les cheveux. En gros, on se dit immédiatement qu’il y a un anachronisme car, dans les comics, c’est le fils de Magneto. Plus tard, il parle vaguement d’un ex-copain de sa mère qui laisse sous entendre qu’il s’agit d’Erick, ce qui rompt l’anachronisme. Du coup, on a envie de s’acharner sur la question en relevant qu’il manque Wanda mais, plus tard, on le voit devant la télé avec sa petite sœur sur les genoux… mouais, suis pas totalement convaincu.
Ce qui m’a surpris, c’est la violence relativement crue (plutôt inhabituel dans les productions Marvel) des morts. Colossus coupé en deux, Iceman décapité, Storm éventrée, etc..
Sinon, quelques points noirs sont à relever. Tout d’abord, le look des sentinelles qui ne colle pas du tout avec l’époque. La solution est pourtant simple : respecter le design d’origine qui, en plus, était déjà présent dans un autre épisode (séquence de la salle des dangers). Ensuite, je suis resté sur ma faim concernant Trask et Magneto. Deux très bons acteurs mais leurs talents respectifs pas suffisamment exploités. Après il y a aussi quelques approximations scénaristiques, mais je chipote là.
Le petit plaisir en dessert après le générique m’a fait presque bondir de mon fauteuil. Gros gros tripp !
Mais passons en mode furtif :
Spoiler!
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zoom le lapinou
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Royal j adore te lire, mais la je suis déçu par ton spoil sur les morts, j'ai pas encore pu voir le film, et zut ça va m obseder, je me vengerai 
je sais pas comment mais ma vengeance sera terrible 
je sais pas comment mais ma vengeance sera terrible Piètre Dieu...
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RoyaleWithCheese
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Ce n'est pas du tout un spoil. Cela fait partie du jeu des "réalités parallèles" que l'on trouve souvent, comme je le mentionne plus haut, dans les récits X-Men sur papier.zoom le lapinou a écrit : mais la je suis déçu par ton spoil sur les morts
Tu comprendras en regardant le film...
EDIT:
Navré d’être pénible, mais j'insiste, il n'y a pas de spoil.
Le titre est évocateur: "Days of future past". Cela sous entend que l'on va se promener dans le passé pour modifier quelque chose donc, la mort fait partie des éléments.
De plus, la cover du comics d'origine va dans ce sens:
Voila, voila....
-And you know what they call a Quarter Pounder with Cheese in Paris?
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zoom le lapinou
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Ok, ok, j y reviendrais après le visionnage
Piètre Dieu...
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Delorean
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The Edge of tomorrow: 5/10
Techniquement rien à redire; on reste dans le classique, les cgi ne sont pas flagrants et bien intégrés.
Côté histoire: la nième variante de "l'histoire sans fin", et là ça pèche un peu; les variations sont pas bien intégrées ou les répétitions sont trop accentuées.. Mais ces variations sont correctes et pas hors propos.
Fanservice : On a un débarquement,des exosquelettes, de la badasserie...
Jeu d'acteur : bof, ni bon ni mauvais
Au final:
un mélange du début du soldat ryan qui recommence n-fois; une histoire qui se mets bien en place mais qui ne décolle mal et un bloc final/avant-final correct.
Pour faire court : vite vu vite oublié mais pas mauvais.
Techniquement rien à redire; on reste dans le classique, les cgi ne sont pas flagrants et bien intégrés.
Côté histoire: la nième variante de "l'histoire sans fin", et là ça pèche un peu; les variations sont pas bien intégrées ou les répétitions sont trop accentuées.. Mais ces variations sont correctes et pas hors propos.
Fanservice : On a un débarquement,des exosquelettes, de la badasserie...
Jeu d'acteur : bof, ni bon ni mauvais
Au final:
un mélange du début du soldat ryan qui recommence n-fois; une histoire qui se mets bien en place mais qui ne décolle mal et un bloc final/avant-final correct.
Pour faire court : vite vu vite oublié mais pas mauvais.
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zoom le lapinou
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Aie tu me fais peur je l attendais impatiemment
Piètre Dieu...
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Cid
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Moi tu confirmes malheureusement mes craintes
Je ne savais pas trop quoi penser de ce film et je n'avais pas plus envie que ça d'aller le voir
je vais donc patienter merci mon JB
Je ne savais pas trop quoi penser de ce film et je n'avais pas plus envie que ça d'aller le voir
je vais donc patienter merci mon JB -
Delorean
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Pas de mal; j'étais pas super-convaincu en y allant. Ca se regarde comme un oblivion avec un scénario plus casse-gueule (dans le sens dur à mener) . Pas mauvais mais à mon sens plus désigné à un direct to dvd de qualité supérieur.
Ca ressemble à un mélange du soldat ryan, matrix épisode 3 et "un jour sans fin"-like .
Il me reste à voir le dernier x-men.
Ca ressemble à un mélange du soldat ryan, matrix épisode 3 et "un jour sans fin"-like .
Il me reste à voir le dernier x-men.
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mister freeze
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Si ça se regarde comme un oblivion alors je cours voir Edge of Tomorrow !!
Car Oblivion est un chef d'oeuvre pour moi
Car Oblivion est un chef d'oeuvre pour moi
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regio
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déçu de Oblivion donc je vais oublier celui-cimister freeze a écrit :Si ça se regarde comme un oblivion alors je cours voir Edge of Tomorrow !!
Car Oblivion est un chef d'oeuvre pour moi
Homefront :8 /10
malgré la bande annonce ou on sent que l'on a tout a vu dans l'ordre
quelques scènes sympa , un bon Jason Statham , quelques bons plans bien amené et surtout bien filmé avec un bon scénario
un bon petit moment sur le home cinéma , du tout bon
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zoom le lapinou
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mister freeze a écrit :Si ça se regarde comme un oblivion alors je cours voir Edge of Tomorrow !!
Car Oblivion est un chef d'oeuvre pour moi
je me disais la même chose Piètre Dieu...
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binuchard
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Aleksander a écrit :Perso j'ai aussi adoré Prisoners, j'en attendais pas grand chose mais depuis le tout début je suis resté scotché sans aucun temps mort, le film dure environ 2h30 mais j'ai absolument pas vu le temps passer tellement j'étais tendu tout le long.RoyaleWithCheese a écrit :Cid a écrit :Prisoners: 10/10
ce film est un pur chef d'œuvreSarlacc a écrit :Ouais ce film est une bombe!
euh... je dis ça parceque je suis en train de rédiger mon laïus vomitif de la semaine pendant mes temps de pause au boulot (petit plaisir coupable) et ce film prend cher.... c'est un digne successeur de Taken....
Bon, vu que nous sommes sur un rare forum où il est possible d'avoir des divergences d'opinions sans que cela se termine en "brouette Togolaise", je posterai quand même prochainement ma review... vous ne m'en voudrez pas, hein...
Maintenant, plus sérieusement, si vous considérez réellement ce film comme un chef-d'oeuvre, je me permet de vous conseiller vivement de regarder "True Detective" (une histoire complète en huit épisodes). J'en ai parlé il y a peu dans la rubrique des séries. Il y a des similitudes au niveau des thématiques abordées. Réalisation, scénario, dialogues et prestations d'acteurs top moumoute.
Qualitativement, ce n'est pas vraiment comparable avec Prisoners. C'est un peu comme devoir choisir entre un tournedos saignant avec une sauce aux morilles, accompagné d'une petite jardinière de légumes et quelques pommes de terres roties et un sandwich au thon triangulaire sous vide acheté dans une station service.
Perso, j'ai choisi...
Je jetterai un oeil sur True Detective alors.
les mecs, true detective, ne passez pas à côté ... LA série à voir
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Delorean
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Patlabor la série TV finie:
Peu d'épisodes déchets sur les 47, qualitativement ça tient la route, les machines sont bien dessinées, pareil pour les personnages bien caractérisé.
Les machines sont considérées comme telles. On ne suit pas des machines, on suit la petite troupe de mécano, pilotes et leur entourage.
Bref. Si c'est à faire découvrir à quelqu'un qui aurait vu le 1er film il faut "commencer" par la fin : les ost sont bonnes, l'action est représentative et condensée dans les épisodes du griffon et ceux mettant en scène le AV-O (la machine folle du film).
Peu d'épisodes déchets sur les 47, qualitativement ça tient la route, les machines sont bien dessinées, pareil pour les personnages bien caractérisé.
Les machines sont considérées comme telles. On ne suit pas des machines, on suit la petite troupe de mécano, pilotes et leur entourage.
Bref. Si c'est à faire découvrir à quelqu'un qui aurait vu le 1er film il faut "commencer" par la fin : les ost sont bonnes, l'action est représentative et condensée dans les épisodes du griffon et ceux mettant en scène le AV-O (la machine folle du film).
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Rigel
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Pompei : Un petit film sympa pour passer le temps mais le plus gros point noir c'est la grosse erreur de casting ... Jack Bauer comme sénateur romain franchement c'est pas possible, mais alors pas possible du tout. Sutherland père aurait été bien mieux dans le rôle je pense, le fils franchement ça le fait pas du tout.
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Sarlacc
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Marrant mais moi je l'ai adoré dans ce rôle! D'ailleurs, j'ai kiffé ce film comme pas permis!
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Cid
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Idem, un superbe moment ciné
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RoyaleWithCheese
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La vie rêvée de Walter Mitty
Il y a des soirées comme ça où l'on est un peu fatigué. Mais, au lieu d'aller se coucher simplement, on décide de quand même regarder un truc « con-con » sur un écran question de bien mettre le cerveau sur « off ». Mon épouse a choisi ce film et en assumera les conséquences.
Dès le début on sait à quoi s'attendre : un employé quelconque, vieux garçon, tombe amoureux d'une nouvelle collègue. Il lui arrive d'avoir des petites absences durant quelques secondes et s'imagine des trucs improbables le sortant de son train-train quotidien avant de replonger durement dans la beaufitude de sa réalité. Autre élément important, suite à une restructuration, la majorité de l'équipe va se retrouver au chômage.
Voilà, avec un pitch pareil on sait immédiatement que l'on va se faire une bonne grosse sieste réparatrice devant ce truc qui va mêler romance à deux balles, petits gags pas drôles et morale pénible sur la folie de ce monde de capitalistes. En gros, j'allais me farcir un film dans le genre de celui avec Will Schmidt, cette histoire où il doit coacher une cause perdue pour l'aider à se faire des gonzesses. Je ne sais plus le nom de ce truc d'ailleurs. Toutefois, et dès les premières minutes, on se rend compte qu' il y a des petits détails visuels esthétiques qui attirent l'oeil, et...
...et l'histoire prend un virage inattendu ! On bascule carrément dans un road movie avec un soupçon de parcours initiatique (« ego-trip post adolescent tardif», question de vous pondre une étiquette qui ne veut rien dire mais qui résume tout). Et là, m'sieurs dames, la sauce prend complètement !
C'est fin, bien mené avec une touche de sensibilité et d'humour mais qui ne se vautre jamais dans le « cul-cul la praline ». C'est assez difficile d'en parler en fait. Dans le fond, c'est un film assez simple et divertissant, mais qui est parfaitement maîtrisé.
Sans jeu de mots, j'ai commencé à me faire un film en faisant une fixation sur l'aura de Wes Anderson présente tout au long du récit. En effet, j'ai l'impression que les références sont nombreuses. Il y a déjà la manière de filmer les bâtiments et les rues, l'affiche qui évoque clairement Steve Zissou, l'hélico, l'animal mystérieux, le bateau et l'ambiance particulière de l'équipage (encore et toujours The life aquatic), une chanson de David Bowie qui va avoir un impact crucial, etc, etc... et il y en a probablement plein d'autres que je n'ai pas eu l'occasion d'identifier.
Pourtant, il est clair que ce n'est pas réalisé par Wes Anderson. Le grain de l'image n'y est pas.
Alors qui ?
Et bien ce fut la grosse surprise au générique de fin lorsqu'on apprend que Ben Stiller a tout fait tout seul ! Et quand on sait qu'il y a un fort copinage entre lui, Owen Wilson et, justement, Wes Anderson, tout devient évident.
Du sous-Wes Anderson alors?
Non. C'est quand même un petit film personnel sympa, sans prétentions mal placées et qui sort son épingle du jeu. En prime, la BO est très cool. Que demande le peuple?
Bref, vous avez compris, à mon gout, ce film est la bonne surprise de la semaine. Et peut-être même de l'année...
Je disais plus haut qu'il y aurait probablement une morale vomitive. Ce fut bel et bien le cas, car l'affiche à été placardée longtemps dans mon quartier. Presque à chaque fois en passant devant en allant au boulot au guidon de ma brèle, je me disais « putain... il était tellement bon machin dans « Royal Tennenbaum ».... mais pourquoi il enchaîne ces comédies d'excrément ? ».
Moralité ? Avoir un apriori, c'est pas bien.... (sic)
L'affiche en question :
Il y a des soirées comme ça où l'on est un peu fatigué. Mais, au lieu d'aller se coucher simplement, on décide de quand même regarder un truc « con-con » sur un écran question de bien mettre le cerveau sur « off ». Mon épouse a choisi ce film et en assumera les conséquences.
Dès le début on sait à quoi s'attendre : un employé quelconque, vieux garçon, tombe amoureux d'une nouvelle collègue. Il lui arrive d'avoir des petites absences durant quelques secondes et s'imagine des trucs improbables le sortant de son train-train quotidien avant de replonger durement dans la beaufitude de sa réalité. Autre élément important, suite à une restructuration, la majorité de l'équipe va se retrouver au chômage.
Voilà, avec un pitch pareil on sait immédiatement que l'on va se faire une bonne grosse sieste réparatrice devant ce truc qui va mêler romance à deux balles, petits gags pas drôles et morale pénible sur la folie de ce monde de capitalistes. En gros, j'allais me farcir un film dans le genre de celui avec Will Schmidt, cette histoire où il doit coacher une cause perdue pour l'aider à se faire des gonzesses. Je ne sais plus le nom de ce truc d'ailleurs. Toutefois, et dès les premières minutes, on se rend compte qu' il y a des petits détails visuels esthétiques qui attirent l'oeil, et...
...et l'histoire prend un virage inattendu ! On bascule carrément dans un road movie avec un soupçon de parcours initiatique (« ego-trip post adolescent tardif», question de vous pondre une étiquette qui ne veut rien dire mais qui résume tout). Et là, m'sieurs dames, la sauce prend complètement !
C'est fin, bien mené avec une touche de sensibilité et d'humour mais qui ne se vautre jamais dans le « cul-cul la praline ». C'est assez difficile d'en parler en fait. Dans le fond, c'est un film assez simple et divertissant, mais qui est parfaitement maîtrisé.
Sans jeu de mots, j'ai commencé à me faire un film en faisant une fixation sur l'aura de Wes Anderson présente tout au long du récit. En effet, j'ai l'impression que les références sont nombreuses. Il y a déjà la manière de filmer les bâtiments et les rues, l'affiche qui évoque clairement Steve Zissou, l'hélico, l'animal mystérieux, le bateau et l'ambiance particulière de l'équipage (encore et toujours The life aquatic), une chanson de David Bowie qui va avoir un impact crucial, etc, etc... et il y en a probablement plein d'autres que je n'ai pas eu l'occasion d'identifier.
Pourtant, il est clair que ce n'est pas réalisé par Wes Anderson. Le grain de l'image n'y est pas.
Alors qui ?
Et bien ce fut la grosse surprise au générique de fin lorsqu'on apprend que Ben Stiller a tout fait tout seul ! Et quand on sait qu'il y a un fort copinage entre lui, Owen Wilson et, justement, Wes Anderson, tout devient évident.
Du sous-Wes Anderson alors?
Non. C'est quand même un petit film personnel sympa, sans prétentions mal placées et qui sort son épingle du jeu. En prime, la BO est très cool. Que demande le peuple?
Bref, vous avez compris, à mon gout, ce film est la bonne surprise de la semaine. Et peut-être même de l'année...
Je disais plus haut qu'il y aurait probablement une morale vomitive. Ce fut bel et bien le cas, car l'affiche à été placardée longtemps dans mon quartier. Presque à chaque fois en passant devant en allant au boulot au guidon de ma brèle, je me disais « putain... il était tellement bon machin dans « Royal Tennenbaum ».... mais pourquoi il enchaîne ces comédies d'excrément ? ».
Moralité ? Avoir un apriori, c'est pas bien.... (sic)
L'affiche en question :
-And you know what they call a Quarter Pounder with Cheese in Paris?