D'ailleurs les premiers concernés se réveillent: les paysans commencent à puriner ou labourer dès la première caravane venue ou annoncée. Certains ressortent le fusil à grenaille ou le mousqueton au cas où.
Les pierres contre sur les entrées ne servent à pas grand chose et les portes à 2m fleurissent devant les centres commerciaux.
Il n'y a pas de fumée sans feu, cette fois ci un groupe a été au mauvais endroit au mauvais moment (et espérons que c'est une minorité voir tout le temps le même groupe) en laissant les choses juste comme il faut pour que la réponse vienne de la population et pas de l'état.
Entrer dans le champ, squatter peut-être mais empêcher de sortir tant que c'est pas nickel et mettre à l'amende (à payer tout de suite).
Si on ajoute un fichage (pataper) des gêneurs et signaler dès la frontière mais quand on sait comme les groupes de casseurs avaient étés repérés et pas bloqués à la frontière lors du g8 il y a quelques années je doute que la frontière se ferme.
Une bière qu'il y avait un camp à portée de conthey, une fillette avec une fiche de dons pour les enfants sourds et muets ça pue l'arnaque. (encore un truc qui fout le camp, un temps je soutenais ce genre de truc mais les premiers à payer sont les associations officielles)
Je ne sais pas si vous avez remarqué que dans le reportage de la tsr il y avait aussi des modérés; d'habitude certaines idées me font fuir mais là dur de dire le contraire. Le retour de bâton va être méchant.