Par-delà les Ondes, la bonne nouvelle du Sarlacc!
Posté : 14 juin 2014, 16:18
Une nouvelle histoire, que je suis en train d'écrire. Cela tiendra sur 20 pages, et j'en ai encore pour quelques heures mais ça devrait être terminé avant la fin du mois!
Voilà une partie du texte, qui lance l'histoire dans une direction que je n'avais jamais empruntée dans mes humbles écrits.
Le temps n’est rien de plus qu’un fluide qui coule sans discontinuer. Toujours dans la même direction, toujours à la même vitesse, avec une parfaite régularité. Nous ne sommes que des morceaux de sucre flottant parmi les vaguelettes du liquide. Quoiqu’on fasse, quoiqu’on décide, les temps reste le temps et nous emporte, nous ronge, nous amenuise. Un jour ou l’autre, il finira par nous engloutir et nous faire disparaître. Totalement. Plus de trace. Peut-être un ou deux souvenirs dans l’esprit de nos proches, jusqu’à ce qu’eux-mêmes se perdent dans l’oubli.
Néanmoins, il arrive que la vie de certains résonne dans l’éternité, malgré toute la gourmandise du temps. Une empreinte éternelle. Un souvenir qui, telle une statue de granit soumise aux caresses des vents, traverse les siècles, droite, fière. Invincible.
Je veux vivre pour l’éternité. Je veux que mes découvertes voguent dans le flux du temps, emportent mon nom et mon histoire et les livrent aux générations futures. Ca n’a rien à voir avec l’orgueil. Je désire simplement qu’on se rappelle qu’un jour, un Coralien s’est dressé face à son destin, face à l’inéluctable. Je suis Elpheen de Coralis, et j’ai appris qu’on pouvait combattre la fatalité, la déchiqueter, l’anéantir. Pour cela, deux armes sont nécessaires : la volonté et la science.
Je suis Elpheen de Coralis, et plus jamais je n’accepterai ma maladie sans combattre !
Voilà une partie du texte, qui lance l'histoire dans une direction que je n'avais jamais empruntée dans mes humbles écrits.
Le temps n’est rien de plus qu’un fluide qui coule sans discontinuer. Toujours dans la même direction, toujours à la même vitesse, avec une parfaite régularité. Nous ne sommes que des morceaux de sucre flottant parmi les vaguelettes du liquide. Quoiqu’on fasse, quoiqu’on décide, les temps reste le temps et nous emporte, nous ronge, nous amenuise. Un jour ou l’autre, il finira par nous engloutir et nous faire disparaître. Totalement. Plus de trace. Peut-être un ou deux souvenirs dans l’esprit de nos proches, jusqu’à ce qu’eux-mêmes se perdent dans l’oubli.
Néanmoins, il arrive que la vie de certains résonne dans l’éternité, malgré toute la gourmandise du temps. Une empreinte éternelle. Un souvenir qui, telle une statue de granit soumise aux caresses des vents, traverse les siècles, droite, fière. Invincible.
Je veux vivre pour l’éternité. Je veux que mes découvertes voguent dans le flux du temps, emportent mon nom et mon histoire et les livrent aux générations futures. Ca n’a rien à voir avec l’orgueil. Je désire simplement qu’on se rappelle qu’un jour, un Coralien s’est dressé face à son destin, face à l’inéluctable. Je suis Elpheen de Coralis, et j’ai appris qu’on pouvait combattre la fatalité, la déchiqueter, l’anéantir. Pour cela, deux armes sont nécessaires : la volonté et la science.
Je suis Elpheen de Coralis, et plus jamais je n’accepterai ma maladie sans combattre !